Prestations écosystémiques des forêts – PNR 73

L’Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage (WSL) a évalué, dans cadre du projet de recherche national PNR 73, plusieurs prestations écosystémiques à l’aide de divers indicateurs, sur la base de ses deux modélisations de l’accroissement des forêts dans différents scénarios sylviculturaux et climatiques.

À lire

Les écosystèmes forestiers fournissent par exemple des prestations d’assurance naturelles en protégeant contre les risques naturels.

À lire

Météo des forêts en France

Météo France vient d’annoncer la mise en ligne d’une météo des forêts à partir du 1er juin, avec une carte quotidienne d’évaluation du risque.
Á lire

Dépérissement des pins sylvestres, nouvelle étude

Il est courant depuis 1990 d’apercevoir en Valais des massifs de pins sylvestres dépérir sur les flancs montagneux. Ces phénomènes ne se produisent pas uniquement en année caniculaire ou sèche, ce qui restait inexpliqué jusque-là. Par un suivi de quatre placettes forestières valaisannes (Viège, Bois de Finges, Saillon et Lens) entre les années 1990 et 2000 réalisé par le WSL, l’élément déterminant du phénomène a pu être mis en avant: le dépérissement des pins sylvestres est lié à des mois de juillet à septembre particulièrement pauvre en précipitations.

Selon les indications scientifiques sur l’évolution des changements climatiques, le dépérissement des pins sylvestres en Valais va se poursuivre dans les prochaines années. Le changement climatique impacte directement la température de l’air, le nombre d’heures d’ensoleillement et donc l’humidité ambiante qui diminue provoquant une augmentation de l’évaporation par photosynthèse et un assèchement accru en été. La structure et la composition des peuplements de pins sylvestres vont se modifiés au cours des prochaines décennies ce qui demandera au gestionnaire de la vigilance pour pouvoir conserver la fonction protectrice de ces forêts situées majoritairement sur pentes abruptes.

Lignatec. Ouvrages de protection en bois

En juillet 2022, Lignum a présenté un nouveau document technique sur les ouvrages de protection en bois utilisés contre l’érosion, les glissements de terrain, dans l’aménagement des torrents et pour les paravalanches.

Au fil du temps, les ouvrages de protection ont été perfectionnés avec les essences locales comme l’épicéa, le sapin, le mélèze et le châtaignier. De nouvelles innovations comme les lés de laine de bois contre l’érosion voient le jour. Une longue durée d’utilisation dépend de la pérennité du bois, de la conception de l’ouvrage, de la qualité de la fabrication, d’une sollicitation mécanique non critique et finalement d’un entretien et d’une surveillance continue des ouvrages.

La compréhension des processus géologiques et les connaissances de la pérennité du bois en extérieur sont essentielles pour une bonne application des ouvrages de protection en bois. Le document Lignatec développe ces connaissances en préambule avant de poursuivre sur les différents ouvrages, leurs utilisations, leurs limites et leur pérennité. Ce document est une aide précieuse pour les travaux d’aménagements forestiers.

Récompense au parc naturel du Jorat

En 2022, le lauréat du prix Elisabeth et Oscar Beugger a été le parc naturel périurbain du Jorat (Canton de Vaud), pour son ambitieux projet de développement des zones naturelles protégées et sa prise en compte des intérêts sociaux dans le parc (détente, loisirs).

Dans son projet de «Promotion de la transition vers l’espace sauvage dans la zone centrale du Parc naturel du Jorat», le parc s’est doté d’un garde-nature afin de sensibiliser les visiteurs et ainsi de favoriser la coexistence entre la réserve naturelle et le public. Cette même personne développera un concept d’entretien différencié des espaces de nature intacte et des zones de transition (chemins pédestres, prairies accessibles au public). La finalité de ce travail (2024) permettra de publier un guide de gestion pour les zones forestières protégées.

Politique forestière 2040 Canton de Vaud

La nouvelle politique forestière vaudoise a été approuvée par le Conseil d’Etat le 22 mai 2022. Celle-ci évoque les lignes directrices suivantes:

  • Promotion de la biodiversité
  • Préservation de l’économie forestière régionale forte et innovante
  • Maintien d’espace de loisirs et de détente
  • Fourniture de matériaux de construction
  • Fourniture d’une ressource énergétique locale et renouvelable
  • Protection contre les dangers naturels

La politique forestière vaudoise est structurée en huit thématiques principales et quatre sujets transversaux permettant ainsi de développer le cadre dans tous les sujets liés à la forêt. Les résultats sont décrits dans 29 orientations stratégiques et 58 mesures ciblées.

Les principales avancées sont la création d’une stratégie cantonale sur l’accueil du public en forêt d’ici 2025, la concrétisation d’une mise en réserve de 10% de la surface de forêt du canton ainsi que la mise en place de mesures cadres pour le renforcement de la filière bois d’ici 2030.

Stockage de carbone et lombrics

Le carbone stocké dans les matières organiques mortes est libéré et stocké dans le sol grâce au travail de décomposition des organismes du sol. Cette action naturelle permet de lutter contre les changements climatiques en réduisant la quantité de carbone de l’atmosphère.

Diplopode, WSL

Une étude du WSL (Institut de recherches sur la forêt, la neige et le paysage) débutée en 2003 a démontré en début d’année 2022 que la sécheresse en forêt (Bois de Finges, VS) entraîne la léthargie des décomposeurs comme les lombrics et les cloportes, empêchant ainsi le stockage du carbone dans le sol. La conclusion de l’étude est importante dans le contexte actuel du changement climatique. En effet, Frank Hagedorn indique que « si les sols forestiers deviennent trop secs, l’abondance de la faune du sol et son activité sont réduites, et les forêts peuvent absorber moins de carbone à long terme », impactant ainsi un puits de carbone naturel important pour l’avenir. La faune du sol devra à l’avenir être mieux prise en compte dans les études et décisions liés à la forêt et aux changements climatiques tant leur existence est essentielle au bon fonctionnement durable des écosystèmes.

Les fourmis des bois sur le web

Les fourmis des bois ont été placées sous protection en Suisse dès 1966 car elles représentent un élément essentiel au bon fonctionnement de la forêt:

  • Elles disséminent les graines
  • Elles combattent les insectes nuisibles
  • Elles améliorent la qualité des sols

Lors du 4ème Inventaire forestier national (IFN), la présence de fourmis des bois a été relevée sur plus de 6000 placettes forestières. Avec ces données, ainsi qu’avec les inventaires cantonaux et les signalements ponctuels, une carte de la présence de ces espèces a été générée par le WSL. Les fourmis des bois étudiées sont la fourmi rousse des bois (Formica rufa) et 4 autres espèces du sous-genre Fornica présentent en Suisse. Les habitats préférés de ces espèces sont les forêts peu denses constituées principalement de conifères.

La carte est consultable sur le site de l’IFN et permet de mieux protéger ces espèces en ciblant les endroits où elles sont déjà présentes. Dans les sites où l’habitat est idéal mais sans présence de fourmis des bois, il est envisageable d’en introduire afin de remplir certains objectifs cibles liés au sol ou à la biodiversité.

Arbre hors-forêt: Foresterie urbaine et agroforesterie

L’OFEV porte un intérêt important aux arbres hors-forêt notamment en lien avec les infrastructures écologiques et l’atténuation des effets des changements climatiques. Ces arbres hors-forêt sont présents dans le milieu urbain (foresterie urbaine) et dans le milieu agricole (agroforesterie). Les prestations offertes par ces arbres sont à mettre en avant et à valoriser :

  • La séquestration du CO2
  • La dépollution de l’eau
  • L’atténuation de la température ambiante
  • L’amélioration de la fertilité des sols
  • La création d’espace de détente
  • La formation de matériaux durable
  • etc.

Les arbres hors-forêt sont compris dans la politique forestière 2021-2024, notamment dans les objectifs 6 et 10. La gestion durable de ces entités spatiales individuelles (pas contenus dans un peuplement) nécessite encore des études afin d’assurer leur promotion, valorisation et sauvegarde. L’OFEV collabore avec l’OFAG sur le thème de l’agroforesterie et avec diverses villes et réseaux d’acteurs (comme ArboCityNet) afin de développer la foresterie urbaine.

Déforestation et équilibres mondiaux

Il est connu que la forêt absorbe une grande part du CO2 présent dans l’atmosphère pendant sa croissance en échange du rejet d’O2. Cependant, la déforestation, en particulier celle des forêts tropicales, provoque un déséquilibre entre CO2-O2 produit par la forêt, en faveur d’un accroissement en CO2 libéré dans l’atmosphère par l’écosystème forestier. Entre les années 2000 et 2020, la forêt a perdu environ 100 millions d’hectares.

En début d’année 2022, les chercheurs de l’Alliance pour le développement de systèmes agricoles et alimentaires durables et résilients ont également démontré que la déforestation influence également d’autres équilibres planétaires, comme l’albédo, la configuration des vents, la distribution locale de la chaleur et la composition des nuages ou les cycles de l’eau. Ces déséquilibres affectent ensuite en cascade l’agriculture et donc la pauvreté et la santé humaine.

Cette étude permet au monde politique d’avoir des données solides validant la nécessité et les avantages économiques à prévenir la déforestation au niveau mondial. Quelques points listés ci-dessous permettent de mettre en avant l’intérêt à l’échelle mondial du maintien du couvert forestier :

  • Une meilleure distribution de la chaleur sur les hauteurs, empêchant ainsi les rayons solaires de toucher le sol et de provoquer des sècheresses
  • Un transfert des eaux du sol vers la surface ainsi que dans les airs, puis par évapotranspiration et grâce aux composés organiques volatils biogéniques (COVB) relâchés dans l’air, la création de nébulosité et de précipitation permettant ainsi un climat idéal pour la croissance des végétaux
  • La formation de nuages permettant la réflexion des rayonnements solaires vers l’espace et le refroidissement global de la surface terrestre

Publication de projets et droit de recours des organisations

En 2021, l’OFEV publie le document d’aide à l’exécution concernant les exigences quant à la publication de projets soumis au droit de recours des organisations à l’intention des autorités de décision de première
instance.

Afin que les organisations puissent prendre part à la procédure d’opposition, l’autorité décisionnelle compétente est tenue de publier la demande de projet dans le cadre de la procédure de décision de première instance. La publication a lieu soit par notification directe, soit par la voie de publication officielle. Une publication des projets optimal permet aux organisations habilitées à évaluer la pertinence d’un projet par rapport à l’environnement et de faire, si nécessaire, opposition.

Bois suisse et marchés publics

Le Cedotec (Office romand de Lignum) a compilé sur la plateforme proprebois.ch les pratiques d’utilisation du bois suisse dans le cadre des marchés publics, des outils concrets et des solutions selon le retour d’expérience de trois maître d’ouvrage publics (Vaud, Lausanne, Porrentruy).

Pour pouvoir demander et obtenir du bois suisse dans un appel d’offre, le bois suisse est avantageux en tous points car il respecte les meilleures standards (respect de l’environnement dans la production et local). Les conseils de Lignum dans le document Le bois suisse dans les appels d’offres permettent d’orienter au mieux la démarche.

Concernant les marchés publics, des solutions et outils ont été mis en avant avec le soutien de l’OFEV et de son Plan d’action bois sur la plateforme www.proprebois.ch pour aider au développement de projet promouvant l’utilisation du bois suisse ou propre bois, sans déroger au principe de non-discrimination des accords internationaux de l’OMC/GATT.

Un stade de football en bois

Le permis de construire pour le premier stade de football en bois a été délivré en 2019 au bureau Zaha Hadid Architects (ZHA) afin d’offrir au Forest Green Rovers Football Club à Gloucestershire (ANG) un nouveau stade audacieux, esthétique et durable.

L’Eco Park Stadium, dont la construction à faible émission carbone peut être suivie sur ce site sera composé uniquement de matériaux en bois d’origine durable. Cette prouesse de l’architecture durable permet de mettre en avant le matériel bois ainsi que de démontrer l’esthétisme de tel bâtiment dans le paysage urbain.

A la recherche des frênes et ormes sains

Les ormes ont été décimés en Suisse par la graphiose. Malgré cela, il reste quelques vieux et gros ormes dans les forêts de plaine. Ces individus ayant survécu à la maladie présentent une génétique favorable et résistante. Concernant le frêne, très fortement attaqué depuis 2018 par la chalarose, il a été noté qu’un 10% des individus semble également bien tolérer la maladie.

Les scientifiques du WSL recherchent des individus sains (frêne et orme) en Suisse depuis 2016 afin d’évaluer les facteurs de résistance de ces individus. Via un questionnaire envoyé aux forestiers, il a été relevé qu’il existe en Suisse 397 frênes tolérant ainsi que 768 ormes sains.

La plupart des frênes tolérant se situent dans des région où la maladie fait rage depuis de nombreuses années car ceux-ci sont plus facilement identifiables. La répartition des ormes sains s’avère aléatoire. Afin de les conserver aussi longtemps que possible, plusieurs méthodes sont à étudier:

  • Les mettre en quarantaine afin d’éviter la propagation de la maladie
  • Créer des arbres tolérant dans la nature par la promotion des arbres sains
  • Remplacement d’arbre
  • Contrôle biologique
  • Monitoring

Les ormes sains s’avèrent être plus nombreux en tant que jeune (20-30cm BHD) que les frênes; ce qui provient du comportement différent des maladies contre lesquelles se battent ces arbres. La propagation des maladies est aussi différente entre la graphiose et la chalarose car liée au vecteur de l’infection (mobile ou peu mobile).

Gestion du danger d’avalanche inscrite à l’UNESCO

La gestion du danger d’avalanche a été inscrite sur la Liste représentative de l’UNESCO le 29 novembre 2018 à l’occasion du 13ème Comité intergouvernemental pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel.

Une gestion collective du risque d’avalanche s’est développée dans les région alpines comme:

  • Le dressage de chien de recherche
  • L’analyse du manteau neigeux
  • La documentation sur les avalanches
  • Les ouvrages de protection
  • La formation des guides de montagne
  • La transmission de récits

Ce bagage technique, social et culturel n’est pas statique et se développe constamment. La gestion du danger d’avalanche a permis le développement de compétences techniques et culturelles uniques à chaque société et transmises aux générations futures. La candidature permettra de sensibiliser la population au danger d’avalanche et de mettre en avant sa signification culturelle dans les sociétés concernées.

« L’art de la construction en pierre sèche : savoir-faire et techniques » a également été inscrit sur la Liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité, permettant ainsi de valoriser une technique répandue aux particularités locales diverses.

Inventaire suisse du patrimoine culturel immatériel

Propriétaires de forêt suisse

En fin d’année 2016 et début d’année 2017, les différents types de propriétaire de forêt ont été évalués par l’OFEV tout comme la relation qu’ils entretiennent avec leur forêt dont leurs objectifs (enquête OFEV). En 2018, 13’000 km2 appartenaient à 250’000 propriétaires. Les résultats synthétisés sont les suivants:

  • 85% de la forêt privée est gérée activement
  • 1/3 de la forêt suisse appartient à des particuliers
  • 80% des particuliers récoltent le bois énergie pour leur propre usage
  • L’objectif principal est de disposer d’une forêt saine et stable pour l’ensemble des particuliers
  • Le sentiment de bien-être en forêt leur est important
  • La majorité souhaite transmettre cette ressource aux générations futures
  • 71% des propriétaires n’obtiennent pas de revenus de leur forêt mais plutôt des pertes financières
  • La majorité des propriétaires forestiers n’ont pas définit d’objectifs à atteindre avec leur forêt
  • 2/3 de la forêt suisse appartient à des collectivités et établissement de droit public (communes, bourgeoisies, corporations, canton, confédération)
  • 90% des propriétaires public exploitent leur forêt
  • L’objectif principal est également d’avoir une forêt saine et stable
  • Les propriétaires public accordent une grande importance à la fonction forestière de filtration de l’eau potable, de création de milieux naturels nécessaire aux espèces animales et végétales et de production de bois

Shinrin Yoku – la forêt vous soigne

Vous aimez la phytothérapie, vous allez aimer la sylvothérapie.

Cet article reprend les résultats d’études réalisées au Japon sur le  » Shinrin-Yoku « , littéralement  » un bain de forêt « .

Cette pratique traditionnelle consiste à s’immerger dans la nature et à faire travailler ses sens au contact de la forêt. En forêt, les arbres libèrent des molécules volatiles, les phytoncides, comme l’alpha-pinène, qui pourraient avoir un effet antistress.

Le sol forestier vit

L’ Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage WSL publie une notice captivante sur le sol forestier. Les sols forestiers sont vieux de plusieurs millénaires, mettant parfois près de 100 ans pour former une épaisseur de 1 cm. Aucun apport d’engrais ne les a enrichis et ils participent fortement à la biodiversité. Un sol vivant est primordiale pour la santé de nos forêts, car il permet un recyclage continu des matières organiques, ce qui en fait un exemple très concret du concept de développement durable.

Article bien illustré, en allemand

Liuzhou forest city

De l’utopie à la réalité, cela a toutes les chances de se passer en Chine actuellement.

L’architecte Stefano Boeri  a réalisé en 2016 un projet de forêt urbaine sur une surface de 138.5 ha à Liuzhou en Chine. Cette ville, habitée par un demi-million d’habitant, est située au sud de la province de Guangxi dans une région montagneuse. Cette région est connue mondialement pour ces épisodes de smog à cause de la surpopulation.

La municipalité de Liuzhou a mandaté Boeri pour une planification urbaine, dont le projet a abouti à la première ville-forêt. Les prototypes à Milan des forêts verticales a permis de développer l’idée d’association saine et équilibrée entre la biodiversité des espèces et les humains dans un environnement urbain. La ville-forêt de Liuzhou habritera 30’000 habitants ainsi que 40’000 arbres et 1 million de plantes d’une centaine d’espèce différente.

Il bosco verticale, Milano

Le résultat d’une telle ville-forêt en termes de dépollution  est l’absorption d’environ 10’000 tonnes de CO2 et 57 tonnes de micro-particules chaque année, ainsi que la production d’environ 900 tonnes d’oxygène. Pour la santé humaine, la ville-forêt permettra d’améliorer fortement la qualité de l’air, de diminuer la température moyenne des îlots de chaleur et de générer une barrière acoustique à la pollution sonore. Pour la biodiversité des espèces végétales et animales vivants dans l’écosystème voisin, ce sont une multitude de nouveau habitat disponible pour leur développement.

Le projet a débuté en 2017 et devrait se terminer en 2020.

Stefano Boeri a un projet similaire de foresterie urbaine à Lausanne, le projet The Tower of Cedars (en cours depuis 2015).

L’Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage WSL en Valais

La mise en place du site d’expérimentation de la dynamique des avalanches de la Vallée de la Sionne, par l’Institut pour l’étude de la neige et des avalanches (SLF) en 1996, marque le début d’une collaboration très étroite entre le l’Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage (WSL) et le Canton du Valais. Les 20 ans de recherche dans ce domaine en Valais font de ce site le hot spot mondial de la recherche et contribue à la réduction des risques liés aux dangers naturels.

Communiqué du SLF

Sur Canal 9

Le Nouvelliste